06/02/2013

La France est-elle au bord de l'explosion sociale ? | Atlantico

Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a déclaré mardi s’inquiéter des risques d' «implosion ou explosion sociale» liés aux mouvements que pourrait créer la vague de licenciements et de fermetures d’usines en France. La situation économique du pays et l’état d’esprit actuel de la classe ouvrière justifient-ils cette inquiétude? Suite... - En savoir plus: actualités licenciements

3 commentaires:

  1. émission de C dans l'air "la CGT jusqu'au bout". Résumé su sujet:


    Croissance en berne, cascade de plans sociaux, chômage record… En ce début d’année, les mauvaises nouvelles s’accumulent sur fond de fracture syndicale, sur les solutions à mettre en œuvre pour la défense de l’emploi.

    La France a perdu plus d'un millier d'usines depuis 2009, selon une enquête du cabinet Trendeo citée par Les Echos de ce mardi 5 février 2013. En 2012, 266 usines de plus de 10 salariés ont mis la clé sous la porte. Et cette vague de désindustrialisation n'est pas encore stoppée, comme le montre l'agenda social très chargé de ces dernières semaines.

    Ainsi, alors que la récession menace l’Hexagone et que le niveau du chômage a atteint un nouveau record en décembre, la longue liste des plans sociaux ne cesse de s’allonger. Dernier en date : Goodyear, qui vient d’annoncer un projet de fermeture de son usine d'Amiens-Nord, menaçant près de 1 200 emplois. Tandis que les négociations sociales se poursuivent dans un climat très tendu chez Renault et PSA-Peugeot Citroën, sur fond de fracture syndicale.

    Un fossé entre les organisations syndicales qui semble se creuser depuis l'accord sur la sécurisation de l'emploi, conclu à la mi-janvier. CFDT, CFTC et CFE-CGC ont accepté de signer avec le Medef, tandis que CGT et FO le rejettent en bloc. Bernard Thibault, leader de la CGT, a d’ailleurs indiqué que sa confédération préparait une action commune avec FO avant le 6 mars, jour de la présentation du texte au Conseil des ministres.

    Ultra-majoritaire sur le site Goodyear d’Amiens-Nord (80 %), la confédération a également dénoncé ce mardi le « déchaînement politico-médiatique » qu’elle subit depuis plusieurs jours et affirmé qu’elle ne refuserait pas « un plan convenable » pour éviter la fermeture de l’usine.

    Vendredi dernier, le président de la République, François Hollande, avait regretté que « des occasions (aient) été perdues » l'an passé dans ce dossier. Le leader de la CFDT, Laurent Berger avait, pour sa part, reproché à la confédération une position « dogmatique » et l'avait accusé de « porter une responsabilité (...) à part égale » avec la direction, faute d'avoir négocié un accord pour sauver l'emploi.

    Voir ou revoir l'émission C dans l'air de mardi 5 février 2012... et les commentaires de ceux qui l'ont vue.

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  2. Les 5 offres de reprise non acceptables en l'état

    en l'état, ce sont des manifestations d'intérêt plus que des offres de reprise.

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  3. La réponse a été donnée par le PDG US de Titan. Il a rappelé d'une façon que si my Taylor is rich, ce n'est pas pour se faire em...der par les aboyeurs de la CGT qui l'on pratiquement foutu dehors lors de visites précédentes. Je plainds surtout les ouvriers qui vont perdre leur travail, tandis que les chefs syndicalistes trouveront à se recaser dans un binz politique ou para-public quelconque. Mais qui a toujours voté a majorité pour ceux qui les ont amenés là? Le front de gauche et ses alliés pourrait lancer une grande campagne nationale de cotisations pour pouvoir reprendre a bon compte la boite et la faire tourner comme seuls eux savent le faire.

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